Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Libre Pensée
13 février 2024

13 février 2024.

Revenons donc à la soumission. La soumission aux substances (dont les drogues) provoquent une incongruité entre les affordances et la morale, entre ses pulsions et son moi profond (par exemple dans le postulat : tout trou est fait pour être bouché...et l’anus dans tout cela?) D’où la question du bénéfice, de ce construire, de se limiter par le symptôme, le refoulement de la non acceptation de sa pensée, de ses actions. De là, la pertinence du ho’oponopono dans l’excuse de soi-même :  « excuse-moi, désolé, pardon, je t’aime » récité comme un mantra pour se réconcilier avec son inconscient. Une hypothèse serait la raison d’un phénomène de rayonnement psi, électromagnétique engendrant non seulement un flottement neuronal, une soumission psi. Je prolonge le développement de mon hypothèse, en me questionnant sur les vortex cérébraux dus à trop d’électricité, si ce champ électromagnétique à l’instar des tempêtes climatologiques peuvent aussi engendrer des éclairs, de la connectivité de part et d’autres de sa spirale. Cela peut-il aller jusqu’à un dérivé de la synesthésie, des zones qui sans aucunes raisons connectent ?

Mais comment faire pour contrarier ces phénomènes ? Il est par exemple impossible de dissocier de manière ressentie l’auto-suggestion de la suggestion par un tiers, hormis chez les schizophrènes qui dissocient leurs pensée (schize). Peut-on hypothéquer qu’un schizophrène soumit à son inconscient, à la psi pourrait discerner les manipulations surtout s’il est stabilisé, qu’il a accouché de son puzzle inconscient et stabilisé probablement et certainement à l’aide d’un traitement ce même inconscient. Comme la schizophrénie est souvent la conséquence d’un dérèglement électrique, de la dopamine, dans ce discernement pourrait-on trouver une ébauche de solution ? L’Humanité se rééquilibre t-elle aussi sous d’autres formes. Quand on me parle électricité, je pense fil et gaine électriques, plastique comme isolant. Notre folie du plastique, notre pollution de la planète entière, jusqu’à retrouver le plastique dans notre sans, dans notre cerveau, serait-ce un moyen d’inciter notre cerveau à résister à l’électricité, à diminuer les connexions, isoler certains groupes neuronaux, donc à faire une mutation génétique ? Cette mutation serait-elle dans l’hubris humain généralisée à tout ce qui est vivant sur la planète ? A méditer.

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Archives
Publicité